la tolerance en islam merveilleux

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La tolérance de l’Islam Aux niveaux de la justice, d’objectivité et d’équité, l’Islam a atteint des limites où il prend en considération même les nuances existant entre les groupes et courants de l’autre. Il n’a généralisé ni jugements ni caractéristiques en ce qui concerne les gens du livre ; le saint Coran dit : "Il est parmi les gens du livre, une communauté droite qui, aux heures de la nuit, récite en se prosternant les versets de Dieu" (La famille d’Amram : 113) ."Oui il y en a parmi les gens du livre qui certes croient en Dieu et en ce qu’on a fait descendre vers vous et en ce qu’on a fait descendre vers eux, humbles qu’ils sont devant Dieu, et ne vendant point les signes de Dieu à vil prix. Voilà ceux dont le salaire est auprès de leurs Seigneur. En vérité Dieu est prompt de compter" (La famille d’Amram : 199). "Et parmi les gens du livre, tel à qui tu confies un qintâr te le rend, tel à qui tu confies un denier, ne te le rendra que si sans relâche tu te tiens debout contre lui. Tout cela parce qu’ils disent : pas de voie contre nous pour les Gentils". Et ils disent le mensonge contre Dieu, alors qu’ils savent" (La famille d’Amram : 75.) Le Coran ne traite pas sur un pied d’égalité et ne généralise pas les signalements ou les jugements aux groupes et communautés des gens du livre. Il établit la règle de (non généralisation) lorsqu’il dit : "Ils ne sont pas tous égaux" (La famille d’Amarm : 113). L’Islam ne s’est pas borné à cette limite inédite de tolérance à l’égard de (l’Autre) qui embrasse des religions monothéistes -les gens du livre comme les Juifs et les Chrétiens - mais il a élargi l’étendue de cette tolérance qui englobe aussi les adeptes des religions positives auxquels l’Islam garantit la liberté de pratiquer leur culte et consacre leur statut à l’instar des gens du livre. Lorsque les Musulmans ont conquis la Perse - dont les habitants étaient Mages adorateurs du feu et croyaient en l’existence de deux dieux : le premier est dieu du bien et de la lumière, le second est dieu du mal et des ténèbres -Omar Ben Alkhattab, Calife des Musulmans, (584-633) soumît leur cas au Conseil consultatif (Majliss Achoura) qui se réunissait régulièrement à la mosquée de Médine- Omar rejoignait ses compagnons et leur parlait de la situation des régions - le Calife dît aux membres du Conseil : Qu’est-ce qu’on va faire des Mages ? Et Abdarrahmane Ibn Aouf (580-652) de répondre : J’atteste que le prophète Mohamed paix et salut sur lui a dit : "Appliquez pour eux les lois applicables aux gens du livres"(38). Ainsi, les religions positives ont-elles été traitées sur le même pied d’égalité avec les religions révélées. Les jurisconsultes musulmans ont codifié cette règle établie par le prophète, paix et salut sur lui, et suivie par les Califes, et ont dit que ces religions disposaient de livres mais qui n’ont pas été conservés. Afin de comprendre la grandeur de cette nouvelle perspective islamique de la tolérance, grâce à laquelle l’Islam inaugura la véritable Histoire de tolérance pour l’humanité, ses lois, ses philosophies et ses civilisations , nous insistons sur le fait que l’Islam n’a pas seulement établi cette reconnaissance de (l’autre), cette acceptation de (l’autre) et cette liberté pour (l’autre) afin qu’il puisse pratiquer ses rites, non pas parce qu’il considère ces mesures comme (permises) et comme un droit de (l’autre), mais il en a fait une obligation islamique et une condition pour parvenir à la perfection de la pratique des préceptes en Islam.

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